Chansons de tradition orale en langue bretonne
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Caractéristiques du chant

Référence : M-00109
Titre critique breton : Son ar bloavezh 1932
Titre critique français : La chanson de l’année 1932
Titre critique anglais : The song of the year 1932
Résumé :
Un jour de mai de l’année 32, mon cœur était triste. Depuis la guerre les années ont passé. Les gens disaient qu’on pouvait vivre alors, maintenant il est dur de trouver son pain.
Tous se plaignent, paysans, commerçants. La moisson est déjà consommée que l’année n’est pas à moitié passée. Les ouvriers sont au chômage dans tous les pays.
Comment pourraient être sans reproches ceux qui ne travaillent pas et roulent en auto de Paris à Deauville, accompagnés de belles femmes.
Certains d’entre eux qui gouvernent, savent profiter des faveurs et des taxes sur ce dont les gens ont besoin pour vivre.
Quand on vote le budget, on trouve l’argent pour les banques, les gros industriels, les chemins des messieurs, mais les routes de traverse des paysans sont oubliées.
Quand viendront les élections, ce sera le tour des députés d’être jugés.

Thèmes : Satires sociales, critique des lois, critique des politiciens
Note :
[de Théo Michel] : « La vie était dure à cette époque. Klec’h, de Mael-Pestivien qui avait composé ce chant. Je l’avais vu le vendre à Callac et lui avais acheté pour l’apprendre ensuite. »

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