Chansons de tradition orale en langue bretonne
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Caractéristiques du chant

Référence : M-00870
Titre critique breton : Arabat bezañ glac’haret
Titre critique français : Il faut savoir se consoler
Titre critique anglais : You must know how to console yourself
Résumé :
Triste nouvelle : mon amie aimée est mariée. Finis pour moi les plaisirs de la terre, je n’ai que douleur dans mon cœur.
Adieu, gens de Séglien, je vous quitte avec chagrin, telle une tourterelle séparée de son compagnon. Parmi les plus belles fleurs se cachent serpents et épines. J’entendis un oiseau : – « Votre amie est mariée, son cœur donné à un autre. » De colère, je l’abattis.
Maintenant que sont brisés mes liens, où irai-je achever ma vie ? J’irai vivre comme un Récollet ou un ermite. Mais devant telle pénitence, je vois ma vie bien triste.
Il reste encore des filles, il me faudra être malin. Je connais une jeune fille, elle sera ma femme quand on aura parlé au père. Elle est ma confiance, mon amour et embellira mon existence.

Thèmes : Rêveries du jeune homme, description de la maîtresse ; Concurrent ou calomnies

Versions (1 version, 3 occurrences )

Renvois

  • Autres chants de tradition orale en breton
    • Motif : « L’oiseau annonce de mauvaises nouvelles de sa maîtresse (mariée, malade). Il l’abat. »
      An eostig ha marv ar vestrez (ref. M-01547)
    • Motif : « Triste nouvelle : ma maîtresse est mariée. Finis pour moi les plaisirs de la terre. »
      Pebezh keloù ! (ref. M-01726)


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