Chansons de tradition orale en langue bretonne
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Caractéristiques du chant

Référence : M-00918
Titre critique breton : Miliner ha milinerez a Gerhorand
Titre critique français : Le meunier et la meunière de Kerhorand
Titre critique anglais : The miller and the miller’s wife of Kerhorand
Résumé :
– « J’ai soif, très grand soif, ma douce. L’eau de la fontaine me ferait du bien si ma douce Louison me l’offrait elle-même. J’irai même à genoux la remercier si elle voulait se marier. »
Elle ne le veut pas car Joachim du Bâtiment n’a pas encore tiré au sort. Il sera exempté. L’argent pour se libérer ne lui fait pas défaut. Louison, tombée malade, Joachim va la voir : – « Ma chère Louison, quand je vous regarde, je ne vous trouve plus jolie. » Joachim, plus jamais, n’est retourné voir Louison qui, délaissée, pleure nuit et jour.
– « Ne pleurez pas, si vous le voulez, vous deviendrez maîtresse dans mon moulin. » – « Assurément, jeune homme, vous seul m’avez aimée, je le vois maintenant. Je serai donc maîtresse au moulin de Kerhorand. J’aurai sur mes souliers de belles boucles d’argent. »

Thèmes : Demandes en mariage acceptées, organisées ; La jalousie, les promesses oubliées

Versions (1 version, 6 occurrences )

Renvois

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