Référence : M-02601 Titre critique breton : Goapaerezh flemmus an Ao. Boileau a-enep d’ar briedelezh Titre critique français : Satire de M. Boileau contre le mariage Titre critique anglais : Mr. Boileau’s satire against marriage Résumé :
Vous voulez me marier, non, je ne le ferai pas. Il n’y a que deux bons jours, l’entrée et la sortie, et cent mauvais jours pour une bonne nuit. D’être attaché toujours à la même femme, le meilleur redoux qui suit le mariage est la pensée du veuvage. Le mot « légitime » me déplait le plus. Pour être dorloté vous devez dire « ma douce » et non pas « ma femme ». Tant que l’on fait la cour on cache ses défauts mais ils sont révélés après le mariage et on commence à se négliger, sans compter les risques d’être cocufié.
Si vous ne me croyez pas voyez Levasseur, il est déclaré cocu par le parlement, de même que Damis.
Réponse : Ce qui est dit ici n’est que baliverne, car parmi les trois femmes que je n’ai aucune envie d’être la femme d’un cocu. Tâtez-moi le front vous ne trouverez pas la moindre corne.
Thèmes :Des hommes ; Chansons lettrées avec auteur connu Note :
Satire de Boileau (1636-1711) contre le mariage. Traduction de F. Guenveur (1748-1828).
Études
Étude : Rim Flemus Boileau, a enep ar Briedelez / Satire (Poème satirique) de Boileau contre le mariage